Le dry-tooling c’est la version sèche de la cascade de glace : gardez le même matériel et un support rocheux mais retirez tout ce qui ressemble à de la glace ou de la neige. Bien sûr plus besoin de broches à glace ! Ajoutez un équipement du rocher à base de points solides et de relais de type goujons et plaquettes et vous obtenez une activité entre escalade et alpinisme.
Eric Chaxel remonte SAT à la nuit tombée à l’Usine, un spot de dry-tooling incontournable situé à Voreppe près de Grenoble (photo : Gérald Duperray)
Devenue une activité de montagne à part entière, le dry-tooling, a son matériel, ses spots, ses compétitions, ses règles et même ses propres cotations de D1 à D15. Visitez la page du DTS pseudo fédération française du dry-tooling pour tout comprendre sur cette pratique.
Le dry-tooling est un excellent entrainement pour les ascensions mixtes en montagne car il permet aux grimpeurs de se confronter à des passages très techniques sur des protections sûres sur lesquelles la chute est permise.
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